vendredi 16 novembre 2007

let's get international!

Сколько воскресенье после обеда я был пешком в пустых улицах, в Праге, в Бухарест или Пекин ... Здесь нет такого понятия, как пустое воскресенье днем ходить. Я только см. улицы через окно нашего бронированные автомобили.

На этой неделе, кажется, повстанцы начали вновь свою деятельность: несколько бомб взорвались в этом городе. Конечно, мы обеспечены, в нашем комплексе. Однако некоторые иракские коллеги подтверждают, что безопасность на улицах улучшается. Они снова согласиться, чтобы перейти на некоторых министерствах, где они были испытывая чувство довести учебных материалов, несколько недель назад.

Значения температуры понизились быстро, в последнее время: на прошлой неделе, я мог бы еще ходить в комплексе в течение короткого рукава рубашки, сейчас, мне нужно с длинными рукавами. Небо не всегда удачно ... синий есть облака, иногда!

Четверг вечером, с моими коллегами, мы в настоящее время используется для собирается строка комплекса и некоторые ЛИВАНСКИХ пить вино. Мы стараемся не говорить бизнеса!

3 commentaires:

  1. Comme je te l'ai déjà dit, je regrette pour toi qu'il n'y ait pas plus de commentaires sur ton blog... et je me suis mis à écrire sur le sujet... Je te livre ça...
    bientôt, l'ère de la communication se limitera à ses seuls outils.... En fait, il ne s’agit pas d’une ère de la communication mais une ère des outils de communication. Ce n’est pas forcément parce qu’il y a une route qui va de Lyon à Pékin, que je vais y aller et ce n’est pas forcément parce que je vais disposer d’une ligne Internet à haut débit que je vais provoquer des contacts. Ce n’est à fortiori pas ma frustration de ne pas être contacté qui va me faire prendre conscience que c’est à moi de contacter les autres. Le jour où l'ère de la communication deviendra l'ère de l'altruisme, alors là, ce sera probablement mieux… Et encore… Il y aura bien un abruti pour créer un « altruism’omatic » pour que les gens puissent à nouveau se défausser…

    T'en penses quoi ?

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  2. mon premier comment n'est pas passé, j'ai trouvé pourquoi (et j'ai honte...) le voici à nouveau...

    Il y avait longtemps que tu ne nous avais pas parlé de tes dimanches de balade... Ce que tu écrivais depuis Bucharest, Moscou ou Pékin avait le don de me faire rêver, même si parfois c'était un peu glauque ou froid... Mais la froideur littéraire a aussi son charme.

    Il y avait également longtemps que tu n'avais pas adopté un ton aussi neutre dans tes posts... La russitude serait-elle donc aussi éloignée de l'âme? Ou est-ce une manière de "La" préserver de toute angoisse inutile ?
    Cela dit, compte tenu de la distance, "elle" ne peut qu'interpréter ça que comme une marque d'affection supplémentaire, fût-elle épistolaire.

    Ai-je déjà pensé à te remercier des occasions que tu me procures de réfléchir à nos conditions ? Tu sais, le fameux "où vais-je, où cours-je, dans quel étage erre-je"... Cela dit, tu démontres ta supériorité sur moi qui se traduit par ta faculté à te détacher de ton environnement pour réfléchir à l'essentiel, ce qui m'était impossible au Kosovo ou en Côte d'Ivoire... A part bosser sur ma thèse qui entrait dans le contexte de la situation, j'étais incapable d'écrire réellement tant dans mes fictions que sur moi-même...

    Sur le même registre, et à nouveau pour parler de je-ego-moi-personnellement, j'intégrerai dès que possible dans mon bouquin une (nouvelle) phrase : "en fait, il faudrait que je parvienne à devenir ma propre fiction...". Ne trouves-tu pas que c'est une version édulcorée ou faussemet honnête de gérer une mythomanie volontaire et acceptée ? Pour paraphraser Daniel Pennac(j'aime bien paraphraser), nos vies sont des romans... Il suffit d'en accepter la condition et avoir le recul nécessaire pour en assumer l'image. Mais tu sais bien, l'extra-ordinaire est une maladie orpheline... A quand l'invention du "hors-normes-thon" pour qu'on prenne conscience de notre handicap?

    J'arrête là mes délires... Je m'en retourne à mes autres divagations d'écriveur, je sens que mes personnages m'appellent. Je les trouve de plus en plus possessifs.

    Take care frangin, et continue de nous abreuver de tes écrits.

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  3. ahaha, de mon ordi on voit une série de points d'interrogation, c'est bien, c'est productif, c'est communicatif. Vive la communication quoi !

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